A sa femme pour ses 33 ans le 14 Novembre 1953

 

Ce modeste cadeau jamais ne pourra dire

 

Combien tu m’es précieuse et combien je t’admire

 

Les hommes vois-tu parfois font de vilaines choses

 

Et bien souvent l’épine se cache sous la rose

 

Mais qu'elles soient en bouquet, en gerbe ou en diadème

 

Les fleurs jamais ne mentent à celui qui les aime

 

Celles-ci te diront mieux que des mots vulgaires

 

Combien tu es ma mie et combien tu m’es chère

Marcel Geffroy

20 Novembre 1915

12 Mars 2002